17 octobre 2017

Bantutalk: L'appartenance ethnique au Congo Brazzaville, la longue route du tribalisme (Entre abus de puissance et marginalisation ethnique)

"Un enfant est un être douée d'une pureté absolue. Il ne connaît ni religion, ni racisme, ni tribalisme. C'est le milieu qui le transforme".
Idris Mahamat Kosso


                                
Mboté mes bénés!
J'espère que vous allez bien je vous retrouve aujourd'hui pour un bantutalk consacré à mon pays d'origine le Congo-Brazzaville.
J'avais déjà écris il y a quelques mois un article pour vous sensibiliser sur ce qu'il se passe actuellement en République du Congo, une crise, une guerre, un génocide camouflé qui chaque jour fait des victimes parmi lesquelles de nombreux enfants.
Et depuis cet article cela n'a pas changé, cela va même de mal en pis, les congolais de la diaspora sont les spectateurs désabusés de la longue chute vers les abysses de ce qui fut un état promis à un avenir glorieux.

Lorsque j'ai écris cet article je n'ai pas abordée certains sujets, volontairement car ma priorité était de vous sensibiliser sur le drame humanitaire qui se déroulait à Brazzaville, mais je me suis rendue compte que pour que toi cher lecteur tu puisse mieux appréhender ces événements il était utile aujourd'hui de faire un point sur les ethnies qui constituent ce pays qu'on appelle République du Congo.

Car au-delà du fait que la tragédie qui se déroule dans la région du Pool est bien évidemment humanitaire, il faut expliquer les causes et ces causes ne sont pas issus de catastrophes naturelles, biologiques. 
Les germes de ce drame sont fondamentalement politiques, fondamentalement ethniques, voilà pourquoi je n'ai pas peur d'user du mot génocide pour décrire cette situation.

Un génocide qu'est-ce que c'est, c'est tout simplement un crime qui consiste à l'élimination physique, intentionnelle, totale ou partielle d'un groupe national ethnique ou religieux.
C'est ce qui se passe actuellement dans la région du Pool au Congo-Brazzaville.

Dans un génocide, la neutralité n'existe pas il y a l'assassin et il y a la victime, retranchés derrière ces deux camps, des hommes, des femmes, des enfants, des gens responsables, des innocents, animées par deux idéologies, animées par deux forces antagonistes l'envie de détruire, l'envie de survivre.
Quel ethnie est victime?
Quelle ethnie est coupable?
C'est la question que l'on peut se poser lorsque l'on apprend qu'une telle tragédie se déroule à ciel ouvert et anéantie silencieusement des tas de vies humaines comme si celle-ci ne valaient absolument rien.

Je ne suis pas la pour pointer du doigt quoique j'ai une opinion très tranchée que j'exprimerait un peu plus tard dans cet article car avant cela j'aimerais vous présenter objectivement le panel ethnique qui cohabite pacifiquement au Congo-Brazzaville.



Le Congo Brazzaville abrite aujourd'hui près de 5 millions d'habitants concentré essentiellement dans les deux grandes villes du pays la capitale politique Brazzaville et la capitale économique Pointe-Noire.
Ces 5 millions d'habitants se répartissent entre trois grandes ethnies majoritaires les Kongo (Bakongos) qui représentent plus de 50% de la population congolaise et en fait donc l'ethnie majoritaire en nombre, le deuxième groupe est le groupe Téké (Batékés) environ 20% de la population 1/5 donc, et enfin le groupe Mbochi (Bambochis) qui représente environ 15% de la population du pays.

Comme beaucoup de pays africains le Congo à souffert du partage gourmand de l'Afrique opéré par les puissances européennes lors de la très célèbre pour de mauvaises raisons Conférence de Berlin de 1884.




Le continent africain a été partagé comme un gâteau au chocolat, chaque puissance conviée au festin de roi héritant d'une part de ce délicieux gâteau pétrit de bonnes choses.
(Mes bébés je n'exagère pas c'est bien comme cela que ça c'est passé, ils se sont installés sur une grande table ont étendue une grande carte et ils ont fait le partage comme ça à l'aisement)
Sans se soucier le moins du monde des réalités spatiales, culturelles, démographiques, sans se soucier le moins du monde des peuples sur lesquels ils allaient exercer leur pression, leur influence et dans ce partage les peuples africains grands perdants se sont vu regroupés, accouplés dans une fatale communauté de destin et contraint à former des états et plus tard des nations avec des peuples totalement différents vis-à-vis des autres dans leur coutume, dans leur linguistique dans leur mode de vie,une mosaïque assassine.
Et voilà comment au Congo-Brazzaville, Bakongos, Batékés, Bambochis se sont retrouvés associés dans un mariage forcé, mariage amer  où le divorce aujourd'hui semble être la meilleure solution. 
C'est la France grand vainqueur de la conférence qui en plus d'une grande partie de l'Afrique de l'ouest héritera du Congo-Brazzaville, d'où le surnom Congo français et Congo belge pour différencier Brazzaville et Kinshasa, (Kinshasa qui deviendra le jardin d'été de Léopold II de Belgique).
Dire que jusqu'à 1881 la France n'en avais rien à foutre de Brazzaville il a fallut qu'un explorateur répondant au doux nom de Pierre Savorgnan de Brazza de malheur vienne poser ses pieds chez nous et hop tout l'hexagone pose ses yeux sur le Congo ils nous voulaient.....et bien ils nous ont eu! 
Et vous comprenez pourquoi Brazzaville a été baptisé ainsi...spéciale dédicace à cet étranger qui scella notre destin et nous plongeas dans la m***e. 
Amen.

La mosaïque : 

L'ethnie Kongo (Bakongos) issue de l'empire Kongo, (Kongo dia ntotila) est présente massivement au sud du pays dans les régions du Pool, de la Bouenza, du Niari et du Kouilou, vestiges démographiques de la dislocation de l'Empire Kongo.
Les Kongos, peuple majoritaire sont composés des laris, des bembes, des vilis, des ndondos, des nsundi, des kongo-boko, des manyanga, des kengé, des kambas, des yombe.
Locuteurs des multiples variantes du kikongo, la société traditionnelle Kongo est matriarcale, la femme exerce un rôle clé dans la transmission du pouvoir et de l'hérédité.
Société marchande organisée et très influente de la région c'est à son apogée que les portugais abordent sur les rives du Royaume Kongo et avec eux emmènent plusieurs fléaux, le christianisme, l'esclavage causant le déclin de l'Empire, l'un des plus grands que l'Afrique n'ait jamais connue.
Mais l'histoire Kongo ne s'est pas éteinte, car cette ethnie reste profondément attachée aux valeurs ancestrales, "kimuntu" (respect et moralité) , la sagesse kongo, le respect des ancêtres.
Sous le joug colonial français c'est l'ethnie Kongo qui se lance en première garde dans la lutte vers la décolonisation française et qui amène le Congo à la proclamation de l'indépendance et la fin de la "sujétion" avec la France (symboliquement seulement) avec des figures emblématiques telles que André Grenard Matsoua qui fonda l'Amicale des originaires de l'Afrique équatoriale française  "Mikalé" le matsouanisme sera sa postérité.
L'abbé Fulbert Youlou issu également de l'ethnie Kongo fut le premier président de la République du Congo suivit de Alphonse Massamba-débat, issu du groupe Kongo également.
Comme on peut le voir l'ethnie Kongo à toujours été très impliquée dans le cours de l'histoire de la République du Congo.
Cependant aujourd'hui cette ethnie majoritaire en nombre qui a écrit les grandes pages de l'histoire du Congo-Brazzaville est délibérément marginalisée, exclue ostensiblement des cercles du pouvoir, des cercles intellectuels, des cercles militaires, des cercles économiques, le mukongo est marginalisé au sein de son propre pays terre de ses ancêtres.
Pire encore le mukongo est violé, tué, assassiné en masse, victime impuissante de la guerre de 1998 et de nouveau victime depuis 2016 d'une crise qui camoufle une volonté réelle d'épuration ethnique.



Makoko, roi des Batékés
L'ethnie Téké (Batéké), deuxième ethnie en nombre de la République du Congo présente au centre du pays notamment dans les régions du Plateau et du Niari, peuple de commerçant s'étant mêlés avec les pygmées s'étant ensuite regroupés en un royaume, le Royaume téké ayant pour capitale Djambala et ayant pour roi le Makoko, les tékés locuteurs de la langue téké ont abondamment participés au commerce triangulaire 
Aujourd'hui les tekes, réputés pour leur diplomatie savent se tenir près du pouvoir sans même avoir l'air d'y toucher, ultime tampon entre les antagonismes et rivalités tribales animant le nord et le sud du pays les tensions entre Bakongos et bambochis.
Les tékés étant également présent au Gabon où ils exercent une influence considérable étant donné que la famille Bongo, famille au pouvoir appartient à l'ethnie téké.




L'ethnie Mbochi (Bambochis), troisième ethnie en nombre de la République du Congo qui représente 15% de la population.
Jacques Opangault
Occupant le nord du pays dans les régions de la Cuvette et la Likouala, les Mbochis sont originellement un peuple de pêcheurs nomades s'étant installés au nord du pays, des migrants en  provenance de l'Oubangui Chari (actuelle Centrafrique).
Locuteurs des langues kimbochi et lingala.
Civilisation dont on a du mal à reconstituer l'itinéraire et le mode de vie ayant laissée peu de traces dans l'histoire de la République du Congo durant les années de colonisations et méconnues par les sociétés kongos et tékés, c'est à la fin des années 1950 que l'ethnie Mbochi se met à produire des leaders politique et part à la conquête du pouvoir tels que Jacques Opangault qui il faut le reconnaître fut un défenseur de l'unité nationale de la République du Congo.
Cependant ce rêve d'unité d'un de ses leader, à partir de 1968 l'ethnie Mbochi s'est attelée à sa destruction en exerçant une pression tribale sur le pouvoir politique et les institutions de la nation, marginalisant les deux autres ethnies au fur et à mesure de l'accroissement d'un pouvoir qui de national est devenu tribal.
La personnalité politique la plus influente de l'ethnie mbochi et par ricochet de l'état congolais est l'actuel président de la République Denis Sassou Nguesso qui totalise aujourd'hui 33 ans en tant que président à la tête du Congo-Brazzaville.


Voilà les trois grandes ethnies qui aujourd'hui vivotent dans ce petit pays d'Afrique centrale qu'est le Congo-Brazzaville.

En ce qui me concerne (si tu ne l'a pas remarqué cher lecteur c'est que j'ai été assez neutre) en tant que Lari j'appartiens à l'ethnie Kongo.
En créant ce blog j'ai voulue faire partager ce qui me faisait vibrer, la mode, la beauté, l'Afrique et ce qui me fait aujourd'hui vibrer bien plus que le reste encore, qui fait battre mon cœur à la chamade c'est la situation dans mon pays d'origine.
Etant née à Brazzaville en 1996, au milieu de la guerre civile qui dura près de  7 ans avec un point culminant entre 1997 et 1999.
Cet évènement qui a beaucoup marqué mon enfance, m'a profondément traumatisée lors de mon arrivée en France en 2002, la guerre civile pour un enfant est une guerre sans cause, une guerre tout simplement.

Plus tard j'ai compris les raisons de cette guerre, monstrueuse comme toutes les guerres.
Des raisons qui étaient fondamentalement politiques et au Congo-Brazzaville ce qui est politique est toujours ethnique en effet comme cet article le résume  "la guerre civile de 1993 à 2002 opposait autant des personnalités et des clans que des ethnies du Nord et du Sud. La monopolisation du pouvoir par les mbochis, ethnie pourtant minoritaire, se ressent clairement dans l’organisation et le développement du pays. Les élites nommées par le pouvoir sont la plupart mbochis et choisis selon des critères ethniques. Les laris, à l'exception de quelques fidèles des différents présidents sont eux largement écartés des postes influents. Même chose pour le développement du Congo centré principalement sur le Nord du pays dont sont issus les mbochis. L’exemple le plus frappant est la ville présidentielle d’Oyo. Petit village rural à l'origine, Oyo se transforme en ville moderne, se dote d'hôtels, d'infrastructures démesurées par rapport au nombre d'habitants de la ville, et devient la véritable vitrine du pouvoir. Le Pool , pourtant la région la plus touchée par la guerre, reste quant à lui, livré à lui-même."

Et aujourd'hui près de 20 ans après ce drame qu'a été la guerre civile, ultime conquête politique du pouvoir par l'ethnie Mbochi un autre drame purement ethnique se passe au Congo-Brazzaville dans les campagnes de la région du Pool où les Kongos sont massacrés, ultime subterfuge du pouvoir en place faire croire à la recherche d'un supposé terroriste, pourtant ceux qui terrorisent la population aujourd'hui sont ceux qui sont censés la protéger c'est à dire la police d'état qui commet des exactions sans nom, non pas pour la sauvegarde de l'intérêt général mais pour la sauvegarde des intérêt d'un petit nombre, des intérêts politiques, militaires, économiques d'ne ethnie qui n'ayant jamais rien apportée au Congo-Brazzaville se contente de se servir et resservir allègrement pour mieux épuiser les ressources pétrolières, minières, hydrauliques comme pour ne rien laisser à notre progéniture, à notre futur de l'égoïsme à l'état brut. Une ethnie qui se contente de presser jusqu'à la lie une population qui ayant trop souffert est paralysée par un traumatisme, la guerre.
Une ethnie surgie du néant, d'une civilisation obscure dont on ne sait rien qui s'accapare un territoire qui n'est pas le sien.
Voilà ce que représente l'ethnie mbochi en 2017 au Congo-Brazzaville.
Tout et rien.

Aujourd'hui au Congo-Brazzaville, le tribalisme, religion d'état à atteint un stade de non-retour la couleur ethnique est devenue la marque de la réussite ou de l'échec social, et dans le Pool, la couleur ethnique est devenue la marque de la vie ou de la mort.

Hier je me définissait comme étant, congolaise aujourd'hui je me définie avant tout comme étant mukongo, lari de mon état, appartenant de facto  à l'ethnie Kongo.
Le clivage d'abord politique entre le nord et le sud c'est transformée en une haine innommable entre les deux camps.
En ce qui me concerne lorsque je sais que ma vie à faillit prendre fin alors qu'elle venait même de commencer à cause des cobras de Nguesso prêt à tuer n'importe quel Kongo sur leur chemin lors de la guerre civile, (les civils Kongo s'étaient même mis à parler lingala afin d'écarter les soupçons sur leur ascendance Kongo en présence des cobras)  lorsque je sais qu'aujourd'hui les membres de ma famille meurt comme des mouches sur la terre de mes ancêtres à cause du tribalisme du sommet de l'état il m'est difficile d'avoir de la sympathie pour les membres de cette ethnie.
Cependant peut-on mettre tous les membres d'une ethnie dans le même panier....?
Car il y a des femmes, des enfants des innocents qui n'ont rien demandés on ne choisit pas sa famille, on ne choisit pas son ethnie mais on est responsable, on fait des choix, on hausse la voix, on exclue parfois, mais ceux là ne disent rien, ne font rien et nous contemplent mourir, alors que beaucoup de ces gens sont également dans le dénuement comme 90% des congolais mais l'instinct tribal est plus fort que leur conscience et bien que n'appartenant pas à la clique dorée ils la soutiennent envers et contre tout.
 Je voulait être neutre le plus possible, mais le ressentiment est vivace, il est poignant.

Ce que je ressent aujourd'hui devant ces protagonistes de l'ombre peut être décrit par ce proverbe "lorsqu'une mangue est pourrie et qu'on la laisse dans le panier avec les autres celles-ci finissent par pourrir également".

C'est ce qui arrive, ces personnes minoritaires n'ayant jamais voulu l'unité dans un pays pourtant pluriethnique, aujourd'hui s'accaparent tout et sont prêt à défendre l'indéfendable car ce qu'ils craignent c'est la vengeance des opprimés.
La peur fait taire même les bons et la barbarie des hommes n'a plus de frein.
Lorsque l'on fait les choses de manière digne et honnête qu'il y a t-il a craindre si ce n'est attendre de récolter les fruits de notre humble travail.
Lorsque quelqu'un craint la vengeance c'est qu'il sait que ce qu'il a fait n'est pas digne, n'est pas bon.

Aujourd'hui tout les membres appartenant à l'ethnie au pouvoir ne sont pas coupables, ne sont pas des assassins, mais dans leur silence acquiescent tacitement et deviennent donc des complices par omission, alors ils sont tous coupables. 

La situation au Congo-Brazzaville est très complexe aujourd'hui, la politique ne s'étant jamais affranchie des rancœurs ethniques, une situation d'autant plus insoutenable car très peu couverte par les médias si ce n'est pour les déboires économiques du pays, car l'état est en faillite, mais la situation sociale très peu médiatisée, lorsqu'on y prête attention nous fait lever le voile sur des vies gâchées dans le silence des forêts denses du Pool.

Voilà pourquoi je tiens tant à écrire ce type d'article pour que infime soit le nombre de lecteurs cela puisse trouver un écho et que toi qui lit cet article saches que comme dans pleins d'autre pays du monde il se passe un drame au Congo, ne te méprends pas avec les milles et une couleurs de la Sape et la magie du Ndombolo, entre les tissus bariolés et les notes de musiques chaloupées ce sont des cris de souffrances qui battent la cadence.

Je vous embrasse et comme d'habitude on se séparent en musique avec Pont sur le Congo de Franklin Boukaka.











15 octobre 2017

Get unready with me! Ma routine soin démaquillante du soir

"On a trouvé sa routine soin lorsqu'on prend autant de plaisir à se démaquiller qu'à se maquiller"




Mboté mes bénés j'espère que vous allez bien, je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler de ma routine soin du soir, comme vous le savez j'aime me maquiller, et je me maquille quotidiennement.
Même si mon makeup n'est pas toujours très élaboré je met toujours un point d'orgue à bien travailler mon teint ce qui veut dire mettre ma crème hydratante, ma Primer, mon fond de teint, mon anti-cernes et ma poudre matifiante ce qui nous fait déjà quatre couches de produits sur l'épiderme, c'est lourd, très lourd à la fin de la journée sur la peau et c'est important de pouvoir se démaquiller d'enlever toutes ses impuretés et rafraîchir son teint.

Avant je pensait qu'un bon démaquillage consistait à juste laver son visage avec un gel nettoyant ou une solution micellaire, un peu de savon et hop dès que à l'œil nue il n'y avait plus de traces de maquillage je pouvais dormir l'esprit tranquille et la peau saine....NO WAY.

Aujourd'hui je prend 20 minutes tous les soirs avant de me coucher pour me démaquiller et je vois vraiment la différence, ma peau au réveil est revigorée et éclatante.
Au début c'était long, fatiguant, après une longue journée se coltiner 20 minutes de soin c'est chiant, très chiant et puis au fur et à mesure on s'y habitue et un jour on y prend goût et aujourd'hui c'est un réel plaisir pour moi de me démaquiller le soir, en fait çà fait plaisir de voir sa peau chaque jour un peu plus nette, un peu plus fraîche, plus éclatante et cela motive à ne pas négliger cette étape.
Et vraiment une fois que vous avez testée pas mal de produits que vous avez trouvé ce qui marche pour vous au bout de deux semaines j'en suis sûre vous pourrez constatez des résultats notables sur votre grain de peau et l'éclat de votre teint.

Aujourd'hui je viens vous présenter le produits que j'utilise qui marchent pour moi, je ne suis pas dermatologue je ne peux pas vous inciter à vous lancer dans cette routine néanmoins avec mon type de peau (j'ai une peau mixte à forte tendance acnéique avec des zones très grasses et d'autres plus sèches et pas mal de boutons..une peau problématique), cette routine marche très bien mon teint est vraiment purifié et j'ai de moins en moins de boutons.

So, voilà ce que j'utilise:





1-Pour enlever la grosse couche visible de maquillage j'utilise le gel nettoyant de chez Yves Rocher
que j'applique après avoir humidifié mon visage et je répartit le produit sur ma peau avec ma brosse nettoyante électrique.
Ensuite je rince, une fois que c'est fait je reprend une noisette de gel nettoyant je frotte une fois encore mon visage avec je m'assure que la mousse du produit est bien blanche si ce n'est pas le cas et qu'il reste des résidus de maquillage je réitère l'opération.


2- Je met un peu de lotion micellaire sur un disque de coton je frotte mon visage uniformément pour m'assurer qu'il n'y a plus aucun résidus et préparer ma peau à recevoir les soins.


3- J'humidifie une fois de plus mon visage et cette fois ci je prend mon gel exfoliant visibly clear shine&pore de chez Neutrogena (j'ai fait la revue ici) je frotte et je rince, c'est frais, c'est magique.


4- J'applique le gommage au bambou et riz blanc de chez Alvira je laisse poser ce gommage deux à trois minutes (je ne l'utilise que deux fois par semaine et je change de gommage régulièrement pour ne pas que ma peau s'accoutume) et je rince.


5- Je sèche  mon visage et j'applique ma crème hydratante de chez Nivea.


Et hop au dodo!;)

Et vous les filles quelle est votre routine?
Est-ce que vous utilisez certains des produits que j'utilise.

N'hésitez pas à me rejoindre sur Instagram (that_bantu_lady), pour plus de tips!
je vous embrasse et ont se séparent comme d'habitude en musique avec "la danse du président" de la diva Barbara Kanam :)

Bisous sucrés
Love, Euloria




OOTD #64 TURTLE NECK


Mboté mes bénés!
J'espère que vous allez bien, de mon côté çà va je vous retrouve aujourd'hui pour parler mode, parlons peu (ce qui m'arrive rarement je l'avoue) parlons bien...

Je voulais vous présenter un de mes looks de la semaine, nous sommes officiellement en automne, le mercure à chuté et le classique de cette période c'est le col roulé j'ai voulu le rendre sexy en essayant la robe col roulé signé PRETTYLITTLETHING, ce site est top et en ce moment il y a des réductions géniales dessus, du coup j'ai eu cette robe à moitié prix, associée à des bottines en velours de chez Stradivarius, la boucle est bouclée.
N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez et si vous aussi vous avez déjà craquée sur Prettylittlething.

Et comme d'habitude ont va se quitter en musique avec Makuela Ma Ntama de Hardos Massamba, un classique.






Bisous sucrés,
Love, Euloria.


Robe: Prettylittlething
Bottines: Stradivarius
Sac: JustFab



9 octobre 2017

L'hypersexualisation de la femme noire,ultime tremplin vers la reconnaissance?

Mboté mes bénés!
J'espère que vous allez bien.
Je vous retrouve aujourd'hui pour un nouveau Bantutalk consacré à un phénomène qui me dérange pire encore qui me met en colère.
Cette semaine la coupe déjà pleine à débordée et après avoir eu une discussion dessus avec mes copines j'ai décidée d'en faire un article.

Il y a encore deux ans j'avais tous les réseaux sociaux en horreur, je ne disposait d'aucun compte ni Facebook, twitter, Instagram, Tumblr, Snapchat j'étais ce qu'on appelle un fantôme pour la plupart des gens de ma génération.
Puis j'ai décidée de m'ouvrir au monde pour rendre mon blog plus attractif j'ai décidée de me créer une page Instagram, seul réseau social que j'ai à ce jour.
Et j'ai beaucoup appréciée le concept au début, étant ce qu'on appelle une commère voir la "vie" des gens comme cela surtout celle de ceux qui ont une vie qui semble si "parfaite" c'est impressionnant.

Ce qui m'a également impressionnée après mes débuts sur Instagram c'était de voir à quel point la femme noire était mise en lumière, adulée contrairement à ce qu'ont voit dans le reste de la société où la femme noire est la laissée pour compte du monde de la beauté, celle qui subit un lynchage médiatique permanent y compris par ses pairs masculins.
Et bien sur Instagram, cette même femme est quasiment vénérée, de la mélanine à toute les sauces en veux-tu en voilà, du chocolat qui coule à flots, du Nigéria aux Etats-Unis en passant par les Caraïbes l'Europe n'est pas en reste non plus.

Des baddies
(femmes de rêve au maquillage parfait, un fessier imposant, un look irréprochable, des ongles de 10cm d'envergure, et cerise sur le gâteau une personnalité "atypique")
au teint chocolat, caramel, curcuma épicé il y en a, à profusion!

Et c'est vrai que c'est quelque chose que j'ai beaucoup appréciée au début, car j'avais des modèles auxquels je pouvait m'identifier rien que pour le makeup, pouvoir reproduire le leur, prendre les références des produits en sachant que cela m'irait et même pouvoir visualiser plus facilement ce que donnerait sur ma peau un tel produit sur le teint d'une baddie ayant un teint similaire au mien.
C'est un atout non négligeable et cela les marques l'ont bien compris car la plupart de ces femmes sont sponsorisées.
Mais ce n'est pas ce qui nous amènent ici.
Non ce qui nous amènent ici c'est la sexualisation accrue de ces femmes noires et au fond des femmes en général car des baddies blanches, asiatiques il y en a aussi, mais notre histoire est différente de ces femmes là et cette sexualisation a un impact bien plus néfaste sur la construction de notre héritage social noir que l'impact de la sexualisation des femmes blanches ou asiatiques sur les sociétés occidentales et asiatiques.
Quand on vous as tout pris jusqu'à votre âme durant des siècles et vous vous retrouvez plus bas que terre et que l'on vous dénie votre humanité et que aujourd'hui encore vous bataillez pour obtenir plus de droits (oui car le respect, la dignité parfois on nous le refuse) laissez moi vous dire que la moindre chose, le moindre comportement social à un impact dans ces cas là.

Comme vous le savez tous, où du moins l'avez constaté.
Le monde perd chaque jour de son originalité, mais ce n'est pas étonnant car au fond rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme alors jusque là...nihil nove sub sole*
(rien de nouveau sous le soleil).
Et les réseaux sociaux accentuent cette impression de perte de souffle, de perte de créativité, plus haut je vous aient ainsi fait le portrait d'une Baddie car ces femmes là sont en quelque sorte des répliques les unes des autres en un peu plus améliorée, et les jeunes filles nous qui nous identifions à elle nous tombons facilement dans la reproduction de leurs comportements (moi-même je me suis prise à ce jeux là) en quête d'une telle beauté qui pourtant est passée souvent sur le billard qui a parfois été travaillée par des applications avant que le cliché soit posté.
Mais peu importe, cela n'arrête pas la quête vers la ressemblance de ce reflet si parfait d'une femme noire à la beauté conquérante qui met tout le monde enfin d'accord.

Si ce modèle devant nous était parfait, je dirais il n'y a pas de problème, aucun danger, fonçons devenons la femme noire irrésistiblement parfaite du 21ème siècle.
Mais il y a un hic comme toujours dans cette euphorie du
"Black is magic"... c'est maintenant que vous savez çà
"Black is beautiful" Amen
 "Melanin poppin" Oh seigneur
"darkskinbaddie" enfin bref....

Il y a un gros malaise, comme une anguille sous roche...quelque chose qui cloche , et ce quelque chose ne sent du tout pas bon.
Et cela commence à m'excéder.

Le cerveau à force de voir les mêmes images, les mêmes poses lascives, sexuelles rentrent dans l'accoutumance et mon cerveau à fini par comprendre que cette image de la femme noire mise en avant pour sa "beauté" reposait sur des critères passéistes, vestiges coloniaux, détritus esclavagistes toujours les mêmes!
Ces critères d'EXOTISME, de SEXUALITE débridée, d'OPULENCE, toutes ces  jeunes femmes se dénudent beaucoup pour "mettre en valeur" leur teint chocolat chaud... (c'est Dieu qui donne). 
Dans des maillots de bain empruntant souvent des tissus tels que le Kente, le Wax ou le Madras rappelant leurs origines "exotiques", s'affutant parfois quand l'été arrive de nos jolies tresses aussi (que j'ai arborée tout l'été durant) et qui mettent en avant toujours cette ascendance africaine qui aura toujours l'air exotique dès lors qu'on vit hors de l'Afrique.
Je veux bien qu'on célèbre l'Afrique, la femme noire, je suis la première à militer pour cela.

Mais l'association de tout cela et de toutes les éloges débridées dessus, me dépassent car une femme noire ne s'exposant pas de la sorte sera soumise à tous les préjugés possibles que nous subissons depuis des années et que je ne tiens même pas à illustrer.
Mais une femme noire plantureuse qui  répond aux standards d'exotisme tant loués celle la va s'attirer les faveurs de tous et sa noirceur hier tant détestée comme par magie devient lumineuse et magique et comme par effet domino créé par les réseaux sociaux comme je l'ai dit on s'identifie à ceux qui nous ressemblent et plusieurs jeunes filles vont croire que s'exhiber car au bout d'un moment c'est clairement de l'exhibition, celle-ci vont croire que pour sortir de cette "noirceur" obscure et passer au melanin magic, il n'est pas bien grave de dévoiler quelques centimètres de peau, de se déhancher fesses au vent sur du shoki shoki, se tartiner le corps d'huile et creuser sa cambrure et hop le tour est joué.
C'est écoeurant et je suis lasse.

Car la condition de la femme noire ne change pas, on passe simplement d'un versant à un autre de cette tragédie qui dure depuis bien trop longtemps, de la négrophobie, on passe à la négrophilie et la femme dans tout cela son statut ne change pas.
Un objet hier, un objet aujourd'hui.

Ce qui me dérange d'autant plus c'est la popularité et le nombre conséquent toujours en augmentation de ces femmes qui bien que certaines soient bien diplômées et qu'elles aient de belles carrières car je ne critique pas du tout leurs parcours mais plutôt cette image qu'elle renvoie de nous les femmes noires et de ce modèle qui pour moi n'est pas sain et semble devenir la norme, un standard de beauté noire la femme foncée plantureuse qui dévoile tout et sexualise son corps "sous l'étiquette du black is  Magic" c'est la porte ouverte à la résurgence de tous ces clichés bestiaux auxquels on avait réduit l'homme et la femme noire. 
Un simple corps, sans cerveau, sans esprit, sans sentiments.
Un corps proche de l'ustensile de l'outil de travail d'ailleurs c'était tout le propre de l'esclavage qui a fait de nous des objets niant notre humanité.
Et dans cette apologie du corps noir souvent callipyge huileux j'ai ce malaise qui me secoue et me donne la nausée.
C'est à cela et cela donc qu'une femme noire doit aspirer ressembler pour trouver grâce aux yeux de la société.
Un objet de fantasme, pour récolter des éloges sur la grâce de ces traits, des éloges sur la couleur chatoyante de sa peau.
Non ce n'est pas à cela que moi et bien d'autres femmes noires aspirant.

L'homme comme la femme noire sont en ébullition, en reconstruction, l'histoire à laissée des plaies béantes et ces plaies ne sont même pas arrivées au processus de cicatrisation.
Notre communauté se rassemblent chaque jour un peu plus de génération en génération c'est la marche vers la guérison, la fierté qui se reconstruit chaque jour un peu plus fort, chaque jour un peu plus profondément, le cap n'est pas encore bien définit mais ce qui es sur c'est que notre reconstruction ne peut pas passer par ce culte du corps, cette matérialisation de désirs qui au fond ne sont pas les nôtres, cette sexualisation à outrance qui nous dépasse et nous as toujours dépassé.

La traite négrière et la colonisation ont laissés des traces profondes y compris sur les désirs, l'homme blanc esclavagiste, devenu colon, devenu bon samaritain devenu éducateur de nos désirs, de nos pensées, devenu éducateur de notre accouplement, cette attirance de l'homme et de la femme noire envers le blanc ardemment, cette prétention qu'on a inculqué à nos hommes de n'êtres que des phallus toujours prêt a s'élever toujours prêt a se noyer dans les plaisirs charnels ce n'est pas nous tout çà et nous les femmes noires serions nous en somme des bêtes de sexe, réduite à tout révéler en leur laissant se rincer l'œil quand bon leur semble NON.

Dans ce refus de se soumettre à de tels standards la femme noire doit tracer sa voie non pas vers la reconnaissance de sa mélanine de sa couleur mais faire abstraction de cette peau l'oublier car il n'y a rien à prouver nous sommes noires c'est un fait une réalité, d'hier d'aujourd'hui et de demain ce n'est pas un étendard alors ne restons pas cantonné a ce qui nous as été assignés par cette immatriculation qu'es notre peau.
Agissons comme des femmes avec élégance classe et respect.
Melanin is magic...Yes honey "femme nue femme noire vêtue de ta couleur qui est vie..."
Léopold Sédar Senghor bien qu'ayant succombé au fruit blanc si défendu l'a reconnue cette peau que nous portons est belle si belle qu'elle doit être honorée, respectée et non pas vénérée de manière obscène et déviante et si certaines personnes la vénère de manière débridée, inutile de leur donner du grain à moudre en retour.

Le défi de la femme noire aujourd'hui est double s'affranchir des standards imposés par la société et embrasser sa féminité de manière à ce que le critère de féminité ne réside pas uniquement dans cette peau noire affublée de presque rien.
On ne naît pas sexy...on le devient c'est un état d'esprit
On n'est pas sexy parce qu'on est noire.
Et féminité ne rime pas avec sexy
Et sexy ne rime pas avec vulgarité
Tout est une question de dosage à tous les niveaux.
Et j'ai peur qu'en étant matraqué en permanence de tels amalgames de cette sexualisation débridée la femme noire finisse par se perdre surtout nous dans la jeunesse et la dans la vingtaine c'est compliqué les filles.

 En ce qui me concerne j'ai toujours été féminine, girly quand j'étais petite et tous les trucs, rose strass poupée c'est moi et aujourd'hui dans la vie de tous les jours je me sens, belle, sexy (ah Narcisse lache moi non)  je me sens à l'aise avec mon corps et j'ai pas de problème a révéler de la peau voire beaucoup trop de peau au grand dam de mon père (tonton veut même porter plainte contre newlook et les jupes mini-mini de l'enseigne) soit c'est son point de vue.
Pour mettre en valeur ma féminité je ne ressens pas le besoin criant de jouer avec ma noirceur pour être sexy, pour que je me sente magique dans ma mélanine!

Sauf que à un moment donné ce n'était pas le cas j'en ai la nette impression aujourd'hui...
en arrivant sur les réseaux sociaux il y a deux ans  je me suis sentie mal bêtement j'ai commencée à me dire que ahlala Eulo tu donnes pas assez de melanin magic cocotte, révèle toi et en prenant pour modèle ces nanas moi la fille qui était assez prude quand même au fur et à mesure mon look s'est beaucoup affuté et je sais que mon look actuel qui parfois peut être ostensiblement sexy n'est pas vraiment le résultat d'un libre arbitre total , je ne peut pas dénier l'influence qu'ont eu ces "modèles de femmes", aujourd'hui bien qu'étant à l'aise dans mes mini -mini et avec mes "mondes au balcon" qui comprendra saura..;)
J'ai assez de recul maintenant pour comprendre que vouloir être sexy doit être un désir propre, un désir de femme et pas un objectif, pas une quête vers une reconnaissance de nos pairs humains, de nos pairs masculins car au-delà d'être noires nous sommes des êtres humains et si j'écris cet article c'est pour tirer la sonnette d'alarme et alerter les filles de mon âge qui se cherchent encore les filles plus jeunes qui idéalisent les gurus, trouvez votre voie, votre style, votre sex-appeal sans vouloir être une réplique vulgaire d'un modèle en rupture de stock qui ne respecte pas votre identité propre et met à terre votre éducation.


Bisous sucrés,

Love, Euloria





6 octobre 2017

Ma revue sur le gel exfoliant matifant de chez Neutrogena

Mboté mes bénés, j'espère que vous allez bien, cela fait un bail mais ne nous attardons pas dans de longues palabres, retrouvons nous, tout simplement et quoi de mieux qu'une revue beauté pleine de fraîcheur pour cela.
Pour celles qui me suivent depuis longtemps et celles qui sont nouvelles sur le blog ou simplement de passage Mboté zéno*
(welcome)!

Dans la vie de tous les jours je suis une personne très curieuse j'aime tester de nouvelles choses que ce soit de la nourriture, des nouveaux endroits, des nouveaux produits encore plus en matière de soins de la peau, étant encore dans cette phase ou je suis en train de me construire une routine soin adaptée pour ma peau je
suis ouverte à pleins d'ajustements alors je teste, teste, teste pour dénicher les perles rares qui feront rayonner mon teint et  me donner le saint graal "the glow" et je crois que ma routine est presque au point, en attendant j'aimerais vous présenter un produit que j'ai achetée il y a environ trois semaines et dont je ne peut plus me passer et ce produit je le remercie d'ailleurs car il m'a donné envie de courir sur le blog pour vous le faire partager.

Cette perle rare c'est le gel exfoliant matifiant de chez Neutrogena...UNE BOMBE!

La promesse du produit

«Un teint unifié grâce à une double action: une peau matifiée et des pores resserrées.»
A appliquer une fois par jour sur visage humide et masser délicatement puis rincez.

Alors promesse tenue?

Mon utilisation

J'applique ce produit deux fois par jour.
Le soir après m'être démaquillée, j'utilise ce produit à la fin de ma routine pour saisir les dernières impuretés.
Au réveil, je me lave le visage avec pour tonifier ma peau dès le matin et la préparer avant le makeup.

Mon avis

J'ai eu un véritable coup de cœur pour ce produit la preuve je l'utilise deux fois par jour et pas qu'une seule fois comme conseillé tout simplement parce que la fraîcheur qu'il amène à ma peau est incomparable.
J'ai la peau extrêmement grasse niveau matifiant je ne vois pas une amélioration notable, ma peau brille toujours autant même avec ce produit dans ma routine.
Par contre au niveau des pores je peut dire qu'il fait très bien son travail, j'avais l'habitude d'avoir les pores au niveau des joues et sur les ailes du nez très apparentes et depuis que j'utilise ce produit c'est incroyable à quel point mes pores se sont resserées ma peau est super lisse et douce c'est vraiment hyper agréable et du coup le fini de mon makeup est nettement amélioré et rien que pour çà je vais racheter ce produit.
Niveau odeur c'est agréable en fait il est mentionné que le parfum est mandarine citron vert, honnêtement je ne sens pas ces odeurs quand j'utilise ce produit mon nez n'est sans doute pas assez fin mais ce qui est sur c'est que cela sent plutôt bon, une odeur un peu de lessive, de linge propre ... et du coup on se sent fraîche, très propre après avoir lavée son visage avec c'est parfait pour commencer la journée en beauté et terminer sa routine soin du soir...voilà pourquoi je l'utilise deux fois par jour.

Le prix

L'avantage de ce produit comme tous les produits de la marque Neutrogena est le fait qu'ils sont très accessibles même pour les petites bourses, comptez moins de 5 euros pour ce gel en grande surface je l'ai eu pour 3,98 euros exactement chez E.Leclerc et il est disponible dans la plupart des grandes surfaces.

La note

9/10 un excellent produit avec un bon rapport qualité prix.


Alors les filles, ce gel on le veut ou pas?
Si vous l'avez déjà testé n'hésitez pas à me donnez votre avis!

Comme la tradition bantupolis l'exige c'est en musique que cet article se termine et je vous laisse avec «Diemba» du roi de la forêt Werrason (diemba diemba toko mata....cette chanson me fait trop danser en ce moment).

Bisous sucrés.

Love, Euloria.